Quand je parle de l’alternance au pouvoir, cela suppose, ça va de soi, que le peuple doit être libre de choisir ses représentants ou son président. Je ne parle pas d’une « présidence tournante » comme cela se pratique, par exemple, dans l’Union européenne. Or, il se trouve qu’aujourd’hui, en Algérie, on veut nous imposer le 4° mandat de Bouteflika.