joletaxi 19 mars 2014 11:36

il est très difficile de prévoir exactement le comportement de la vapeur d’eau ,surtout dans un système où les différences de pression sont peu importantes,il suffit de s’intéresser aux problèmes qui surgissent dans des générateurs turbine à vapeur.
Mais en gros, vous décrivez ce qui se passe sans doute ?
Mais si vous refroidissez la chambre de combustion(effet recherché dans les moteurs de fortes puissances) vous diminuez le rendement fatalement.
En introduisant de la vapeur d’eau,ou de l’eau qui va se vaporiser dans la chambre, vous avez moins d’air pour participer à la combustion,et une perte de puissance.
Sauf à imaginer que la vapeur d’eau participe magiquement à la réaction.
Egalement, vous augmentez indirectement la pression dans la chambre, ce qui n’est pas vraiment l’idéal.
Quant au complot des pétroliers,je vous signale que les moteurs deviennent de plus en plus économes,au prix d’une complexité qui a un coût.
C’est le consommateur(vive le libéralisme) qui décide où doit se situer le curseur entre la course à l’économie de carburant vs/le prix à payer.
Lors de la première crise du pétrole, j’ai installé des dizaines de régulation pour chaufferie qui permettaient d’économiser 20,30% de conso.
Dès que les prix sont retombés, ces techniques sont tombées dans l’oubli.

En fait les charges se concentrent dans les aérosols (c’est comme ça dans un orage donc c’est pareil forcément !)
ah bon, la vapeur d’eau est un aérosol ?
Dans un nuage, le brassage intense des fines gouttelettes d’eau,dans des conditions très particulières de basses pressions,crée une charge électrostatique ,qui finit par trouver un chemin dans l’air pour se décharger au sol.
dans votre tuyau,le contact avec une masse est constant, pas de possibilité de charger le « nuage ».


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