Claude Courty Claudec 3 avril 2014 21:14
@ doctorix (---.---.87.181) 3 avril 19:21
Vous n’avez pas totalement tort, mais pour aller au-delà de votre vision romantico-compassionnelle de la question (excusez si je me répète) lisez donc : https://docs.google.com/document/d/19A-0tVopdP-mUTQFsyfjx3RqDjiwFmvxjUCkJ7xD4BU/edit

Le capitalisme n’est qu’une forme achevée du matérialisme, dont les variantes, tant collectivistes que libérales, ont séduit tous les niveaux de la pyramide sociale (riches, classes moyennes et pauvres), au cours des siècles et de l’évolution des sciences, de l’industrie, de l’économie ...et de la démographie.
Et ceux qui prétendent que le capitalisme est condamné, expire, est moribond, voire mieux, est mort, se trompent ou mentent.
Nous parvenons au contraire – pour le meilleur et pour le pire –, par l’enrichissement considérable de la société, à un capitalisme triomphant, avec la complicité, consciente ou objective, de tous : depuis ceux qui trônent au sommet de la pyramide sociale, jusqu’aux plus humbles qui, non content de vivre des miettes de plus riches qu’eux, se multiplient pour qu’il en soit de même pour leurs descendants, chaque jour plus nombreux.
Pour en revenir à l’objet de l’article dont nous débattons ici, c’est en cela que le pauvre, comme ceux qui lui accordent une compassion trop sommaire, est davantage stupide qu’un salaud.

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe