salamalekoum 13 juin 2014 20:45

Décidement, vous qui vous prétendez scientifique, n’arrivez-vous pas à mettre vous émotions de côté quand vous raisonnez ?

Si ma fille est malade, j’agis en fonction de la maladie.

D’où pouvez-vous tirer cette relation de cause-à-effet de mon précèdent message ? De même pour cette histoire d’argent.

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Je vous propose l’évolution de mon expérience quotidienne, agrémentée d’un peu de bon sens comme « prophétie expérimentale » :

ça pue dehors et ça pique le nez (plus qu’avant), y’a des nuages de pollutions qui stagnent au dessus des grosses villes (c’était moins fréquent avant), particulièrement quand il fait chaud, je découvre des nouveaux insectes, je vois des rejets dégeu dans la flotte quand je me balade (rivière, mer), le bords de certaines rivières sent mauvais (c’était pas le cas avant), etc.

La même chose quand à l’évolution des cerveaux.

Feriez-vous partie de ces gens qui sont tellement imprégné du quotidien qu’ils ne voient plus les choses évoluer autour d’eux ? Réveillez-vous...

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Je comprends votre doute vis-à-vis de ces gens, et je vous soutiens.

Personnellement, je ne m’aventurerais pas à « prédire » quelque chose d’aussi précis que « dans trois à quatre mois, le niveau de l’eau aura suffisamment monté pour que ça ait un impact sur notre vie quotidienne ». Surtout sur quelque chose d’aussi chaotique que le climat.

En revanche, attention à cette faute de raisonnement :

S’il y a un arbre devant, ce n’est pas parce que quelqu’un dit qu’il y a un pommier qu’il n’y a pas d’arbre.

Et vu qu’aujourd’hui tout est pretexte pour gagner en influence (politique, financière), ça n’est pas surprenant qu’on nous prédise des pommiers, des poiriers ou même des figuiers.


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