Mais non, rappelez-vous Chirac :
même moqué, voué aux gémonies par son camp après la dissolution de 1997, tout le monde s’est uni derrière lui pour 2002.
C’est d’ailleurs une des différence entre la gauche et la droite :
le garde-à-vous derrière le chef est plus automatique à droite, même si en privé on n’en pense pas moins.
Alors qu’à gauche, il y a toujours de myriades de courants et sous-courants qui se tirent dans les pattes publiquement