bakerstreet bakerstreet 27 juin 2014 10:30

« Viva la muerte » était surtout une provocation des franquistes, et le signe d’une course en avant, vers la mort programmé des autres. 


Ce qui n’est pas la même chose que les kamikazes, qu’on ne peut extraire de la pensée japonaise. Le concept de la mort sont très différents en asie et en europe. 

Ce qui est certain, c’est que la conception du groupe en temps qu’organisme vivant, est là bas bien plus présent, et que la mort est conçue non pas comme une renonciation, mais comme un don à un idéal collectif. 

La dimension de désespoir intense, qui traverse des sociétés, est l’élément qui va apporter de l’essence à ce moteur. 

En conséquence, les soit disant vainqueurs doivent bien avoir en tête qu’il ne faut jamais écraser son adversaire, ni l’humilier, mais lui aménager des portes de sortie, et d’espoir, s’il ne veut pas provoquer ce genre de réactions impossibles à rationaliser, ni à endiguer, et qui n’est pas inscrit dans les plans de la rationalité.

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