soi même 9 juillet 2014 12:45

( La part de la finance dans l’économie suisse est de 8%. ) D’après vous comment comprendre cette bonne santé Suisse, c’est bien qu’il y a une infrastructure bancaire financière efficace.
Il y a pas forcement besoin de grand flux financier pour générer une économie efficace, sa force vient du dynamisme dans la circulation monétaire, induit de se fait une économie qui à peut recourt aux subventions publique (La philosophie de politique économique des autorités est de conception libérale et non interventionniste, ce qui se traduit par une défense du libre-échange, l’absence relative de secteurs subventionnés — à l’exception notable de l’agriculture et des transports — et une politique régionale prudente )

D’autre part, visiblement un détail vous échappes, du poids économique de la Suisse :

 (Négoce des matières premières

Environ 25 % des transactions mondiales du commerce des matières premières s’effectuent en Suisse. Cette économie générerait environ 10 000 emplois, en particulier des opérateurs de marché, répartis dans 500 sociétés de négoces

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Services Actuellement, la majorité des emplois se situe dans le secteur tertiaire et continue de progresser dans ce domaine, notamment grâce à l’importance du système éducatif, du système de santé, des activités financières, des assurances, des transports ainsi que des entreprises dites de conseils.)

Montre bien que c’est l’activité financière qui bien au centre de la synergie de la prospérité Suisse, elle n’a pas nécessairement besoin de prendre une position dominante dans l’économie du pays , néanmoins c’est bien le moteur qui est a l’origine du dynamise des moyens entreprises et de ceux qui ont une dimension internationale qui profite de cette situation exceptionnelle en Europe. 

( La libéralisation et la primauté des forces du marché constituent les principes directeurs de la politique commerciale suisse résultant du postulat général énoncé dans la constitution : la Confédération n’intervient que si l’activité des entreprises suisses se trouve entravée par l’action des pouvoirs publics à l’étranger147 et promeut un système multilatéral d’échanges ouvert et bénéficiant d’une harmonisation )

Cette politique appliquer avec toute la tempérance Suisse doit sans doute être à l’origine c’est incroyable bonne santé économique . 

( Structure du produit intérieur brut

Structure du PIB 1948-2010
En 2009, la consommation privée représentait 57,9 % du PIB, la consommation publique 11,4 % et les investissements 20,6 %. La Suisse se distingue par un taux de consommation publique particulièrement faible parmi les pays de l’OCDE. Le taux d’investissement est le plus bas que la Suisse ait enregistré en cinquante ans, même s’il reste plus élevé que ceux de tous les autres pays du G8. Ce phénomène n’est pas lié à une politique de désinvestissement mais par l’énorme excédent que les échanges commerciaux engendrent : les exportations se chiffrant à 50,4 % et les importations à 40,2 %, soit plus de 10 % du PIB35 )

http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie_de_la_Suisse

Fifi quand on donne un document, il faut encore le savoir le lire ; Car que découle de c’est article, trois conclusions.

Même si ce n’est pas vraiment encore une réalité évidente,
Il y a bien une Société Civile qui a des pouvoirs pour proposer des lois où modifier où annuler des lois juger contraire à leurs intérêts. d’être libre de s’organiser en association pour leurs choix de santé, d’éducation où culturel sans pour autant être tributaire des choix de l’État !
( Les relations de travail en Suisse sont caractérisées par une longue tradition de concertation. C’est la convention historique de 1937, connue sous le nom de « paix du travail », conclue au sein de l’industrie des machines qui en est à l’origine. Les relations sont concrétisées par des conventions collectives de travail — accord négocié à intervalles réguliers entre les syndicats et les associations patronales — qui fixent les conditions de travail minimales, y compris les hausses de salaires, et interdisent en principe le recours à la grève171 pour les salariés et le lock-out pour les employeurs172. L’article 28 de la constitution de la Suisse173 garantit le droit de grève (alinéa 3) tout en précisant que « les conflits sont, autant que possible, réglés par la négociation ou la médiation » (alinéa 2). La Confédération se limite à un rôle de médiateur et peut étendre une convention à une branche entière en fonction de la représentativité des acteurs en présence. En 1992, 1146 conventions sont en vigueur et couvrent plus de 1,4 million de travailleurs, soit deux cinquièmes de la population active occupée174. )

Il existe encore en Suisse, un véritable pouvoir politique qui se fonde sur la légitimité du peuple qui a garder ses pouvoirs Régaliens sur les Institutions, la Justice - Intérieur - Battre Monnaie )

Et le trois 3 pôles, le monde économique qui sous le régime de ( la libéralisation et la primauté des forces du marché constituent les principes directeurs de la politique commerciale.)
qui ne veux pas dire que cela n’est pas strictement encadre par un partenaire incontournable qu’est accorder par des règles stricts du code du travail !

Delà dire que c’est un pays qui n’a pas de problème, car c’est un îlot de croissance en Europe, c’est un pas que je franchirais pas, il suffit de lire les différent ouvrage de Jean Ziegler pour ce rencontre l’envers du décors n’est pas plus réjouissant que les autres pays .

« Le banditisme bancaire suisse est une évidence » pour Jean Ziegler

http://www.rts.ch/info/suisse/4332248-le-banditisme-bancaire-suisse-est-une-evidence-pour-jean-ziegler.html

 

 

  


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