Sans la dédouaner, ce n’est pas sa faute à elle si les consommateurs sont si malléables.
Ça me fait penser à une connaissance alcoolique, si sûr de sa force de caractère qu’il est certain de gérer son addiction.
C’est en faisant preuve d’humilité et en nous confrontant à nos faiblesses que nous sommes capables de les analyser et de les dompter, pas en nous croyant toujours plus malins.