J’ai bien peur que l’auteur se soit échaudé trop vite, même si le rappel concernant la doctrine Wolowitz est particulièrement.
Car il s’agit avant tout d’une guerre économique, de par les sanctions, et la précipitation bruxelloise à exploiter toute la misère du continent européen. On a la guerre qu’on peut, et elle est économique.
Et désigner un ennemi permet aux chancelleries occidentales d’éviter de s’expliquer sur leurs échecs de politique économique.
La Russie leur sert de bouc-émissaire, mais c’est bien évidemment un leurre.