Thierry SALADIN Thierry SALADIN 16 août 2014 21:59

@ L’auteur,

Merci pour cet article, ainsi que pour les précédents sur cette question de l’Ukraine. Visiblement, vous avez accès à des infos intéressantes, et soyez-en remercié de nous les faire partager.

@ Zeb 66,
Parfaitement d’accord avec votre affirmation finale :
«  (...)montre à quel degré
d’abêtissement intellectuel les cerveaux occidentaux sont formatés. »
Vous ne croyez pas si bien dire. Non seulement ce que vous écrivez est exact, mais cela va bien plus loin que ça.

Par exemple, et je le remarque aussi sur Agora Vox chez des auteurs ou commentateurs qui ont des choses à dire, remettre en cause l’intérêt du tout-anglais au motif :

1) que c’est la langue de l’occupant — ou de l’empire, si vous préférez,
2) que le tout-anglais fait partie d’un plan caché que mènent les EUA depuis 60 ans, et qu’à ce titre ne pas vouloir remettre cela en cause montre que « le formatage des cerveaux a bien marché ». C’est bien votre expression, Zeb 66 ?
Autrement dit : "Bravo les Ricains ! Tous ces gens qui critiquent à juste titre votre politique dans le monde sont pour la plupart incapables de concevoir de le faire autrement que dans votre langue.
3) qu’il est donc plus que temps que des esprits quelque peu critiques revoient un peu leur position, si tant est qu’ils en aient une, à l’égard de l’espéranto, la seule solution équitable dans ce domaine. 

Petit rappel, même si c’est hors sujet : 
L’espéranto, c’est la vraie langue internationale, et donc la seule qui l’est de fait dans sa nature, à l’exclusion de toutes les autres (l’anglo-américain y compris) et qui est parlée sur toute la planète depuis 127 ans : une preuve que ce n’est pas un échec comme on le lit trop souvent de la part de ceux qui feraient mieux de tourner leur clavier sept fois dans leurs mains avant que d’écrire n’importe quoi.

Mon dernier article sur Agora Vox permet de se faire une idée sur la question, vu les commentaires qui y ont été mis (et leurs réponses, bien entendu).

Cordialement à vous deux.

Thierry Saladin

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe