christophe nicolas christophe nicolas 25 août 2014 11:12

Vous ne pouvez pas trancher sur la santé du mental sans trancher sur la vérité, ça n’a pas de sens ou alors, vous risquez d’instaurer un régime avec des camp de rééducation. Comme c’est interdit, cela deviendra du mobbing.

Qui seront les décideurs ? Le bien ne ment pas, n’agit pas par derrière, ne manipule pas... donc s’il y a une recrudescence de « problèmes mentaux », cela signifie que les menteurs ont pris le pouvoir...

Imaginons une entreprise, sachant que l’argent y tient un rôle important, si le chef d’entreprise devient cupide, ou si ses cadres principaux le deviennent pour se faire valoir, vous risquez, si vous intégrez le mental dans la santé de voir les cons traiter les gens honnêtes de fou et tenter de les rendre malhonnêtes. Pourtant la société ne peut avancer que dans l’honnêteté, c’est une donnée de base pour la confiance qui la clef de l’économie, on ne le rappelle jamais assez. 

La cupidité engendre un système de conflit mental avec la vérité, or la richesse est une donnée de sortie et l’argent est une ressource pas une fin. On mesure avec justesse et équilibre par la vérité et on y accède avec l’intention de bonté alors que l’intention cupide engendre des équations erronées.

Mettre l mental dans la santé alors qu’on est loin de la vérité est absolument catastrophique, vous mettriez tous ceux qui cherchent honnêtement la vérité dans le camp des fous pour des histoires non dites d’argent, bref, on sombrerait dans l’hypocrisie institutionnalisée, c’est d’ailleurs ce qui se passe.

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