@ l’auteur,
Vous m’avez tenu en haleine tout au long de l’article, pensant découvrir à la dernière ligne LA donzelle providentielle ! Que nenni !
Vous êtes à côté de la plaque, bien que pas né de la dernière pluie !
Il ne s’agit pas tant de trouver LE gusse ou LA femme compétente, mais de pouvoir s’affranchir du cancer que sont les banquiers, ceux qui mènent, depuis des décennies, le monde et les politiques.
Or, à ce jour, aucun homme, aucune femme politique ne pourrait le faire.
Seul le peuple, en assemblée constituante pourrait se permettre ce luxe !
bien à vous