Philippe VERGNES 6 septembre 2014 12:07

@ JL,

Le kayak est en bas de chez moi, on part après mangé (repas léger cela va de soi). Vous venez ???

Je vous prendrez avec moi dans l’embarcation et soyez sans crainte, on a pied sur tout le parcours (y’a des enfants qui nous accompagnent, pas question de prendre le risque de se noyer, juste de quoi les amuser un peu dans les tourbillons des rapides).

Je vous l’avez bien dit et je vous le redis : à bientôt ! (ou a plus tard, car ça va être l’heure).

Par contre, à en croire votre citation de ZOLA, je ne dois pas être un saint, car je ne connais pas la haine, ni celle de celui qui détruit envers celui qui construit ni celle de celui qui construit envers celui qui détruit. Pour moi, la haine, c’est la haine. Point barre.

D’ailleurs, moi qui au sein d’associations suis au cœur du problème, je n’ai jamais connu une vrai victime qui haïsse véritablement son PN. Elle éprouve de la colère, voire même une immense colère, mais de la haine jamais. C’est bien cela qui les rends vulnérables. Les victimes qui basculent dans la haine sont celles qui manifestent le plus les mêmes comportements qu’elles reprochent à leur PN.

Ce serait intéressant de connaître ces distinctions que vous faîtes entre « haine envers ceux qui détruise » et « haine envers ceux qui construise ». Pouvez-vous argumenter s’il vous plaît, et si possible sans vous lancer dans des attaques ad hominen dont vous êtes coutumiers ???

Cela ferait véritablement avancer le débat.

M’en veuillez pas je dois y aller, mais je reviendrais ce soir ! smiley


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