À Clojea,
Il y a gratuit et gratuit. Celui correspondant à un service public n’est gratuit qu’en apparence puisque payé avec nos impôts. À priori ceux qui le fournissent peuvent (peuvent) être payés correctement ce qui n’est pas le cas des services « low-coast » bon marchés mais payants et pour lesquels le salarié est forcément exploité à fond.
(Citons pour mémoire le gratuit financé en fait par la publicité : C’est peut-être le pire car le gâteau doit être partagé entre entreprises ne voulant pas partager justement et ce système ne peut se finir qu’en pigeonnage général !)