skirlet 14 octobre 2014 14:44

Je n’ai pas fait l’arithmétique comparées des phonènes, mais c’est évident que le breton, seule langue d’origine celtique du pays, ( et certainement très proche du gaulois) offre une ouverture sur les langues apparentées incomparable, et une autre proposition d’intelligence au monde et à sa sensibilité.

Relisez votre message : vous avez bien parlé des phonèmes et de la richesse. De quelles langues apparentées parlez-vous précisément ?

Les sons en tous cas entendus et perçus, ne sont pas du tout les même que ceux du français

Les sons du polonais ne le sont pas non plus. Même les sons de l’italien, pourtant très proche du français, ne sont pas les mêmes. Et alors ?

La difficulté des français en langue tenant à la pauvreté phonique de la langue, sans grande musicalité ni accent tonique, contrairement par exemple au breton.

Franchement, le français n’est pas ma langue maternelle, mais vous voir cracher dessus me débecte. Quelle pauvreté phonique ? 37 du français vs 27 du breton ? Comment mesurez-vous la musicalité ? Le seul critère quantifiable est la proportion de voyelles et de consonnes. En français, sur 100 phonèmes elle est de 43,36 / 56,64 (proche de l’italien dont personne ne conteste la musicalité smiley ) ; pour comparer : en anglais, c’est 37,4 / 62,6.
L’accent tonique en français existe bel et bien, il se trouve sur la dernière syllabe prononcée. Le saviez-vous ?..

L’apprendre avec l’académie rend la démarche plus difficile et artificielle.

L’assimilation généralisatrice, vous connaissez ?

En tous cas les déclinaisons, en breton comme en allemand amènent une plasticité de l’esprit, par celle du verbe, et facilitent les reconstructions et les images sémantiques

Si la plasiticité de l’esprit ne tenait qu’à ça... smiley

Quant au reste, les attaques personnelles sont un procédé connu mais peu honorable.


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