asterix asterix 13 octobre 2014 20:22

Bonjour Monsieur,

Nous n’avons pas du tout le même avis, mais je respecte le votre, entendu que vous n’utilisez pas l’injure.
Seul un correctif sur tun argument que vous êtes le seul à ettre en avant : il concerne le mouvement flamand né durant la Première guerre mondiale.
Ce mythe du pauvre flamand mort pour la Patrie parce qu’il ne comprenait pas le français est doublement pervers.
En un, à l’époque les soldats wallons ne parlaient pas le français non plus. Et il me semble que quand des officiers vous disent « en avant » - « en arrière » ou « voici comment sauver votre peau » , j’attends toujours l’imbécile qui vous répondrait « dites, chef, j’comprends pas ce que vous me racontez, vous sauriez le dire dans ma langue ? ». Il aurait reçu une rafale de mitrailleuse ou respiré sa dose létale d’ypérite avant, non ?
En second et là c’est beaucoup plus important le MYTHE DU PAUVRE FLAMAND PERSéCUTé EST FAUX ! 
Plus de 90% des soldats britaniques engagés sur le front de l’Yser y sont morts.
49 soldats belges sur 50, francophones et néérlandophones réunis, en réchappèrent.
Et bien sûr, De Wever et compagnie prétendent qu’ils furent LES VICTIMES
En 40, les valeureuses victimes flamandes n’ont jamais existé. Elles se sont toutes rendues à l’ennemi avant alors que la partie wallonne de l’armée, scindée en 2 en 1938, résista plus longtemps à la Wermacht que les troupes françaises. Elles ont été massacrées lors de l’épisode dit de la LYS SANGLANTE parce qu’elles ont été trahies par la partie flamande de la même armée nationale ( ? ) qui, bien qu’occupant SEULEMENT l’arrière s’est rendue sans gloire.
C’est cette reddition qui a valu à Hitler sa fameuse VLAAMSCHE POLITIEK : tous les prisonniers flamands ont pu rentrer chez eux, tous les francophones furent envoyés dans des camps de travail.
Les victimes belges de la guerre ne sont pas celles mises en exergue par le néo-nazisme flamingant, c’est le contraire.
Sachez également que le gouvernement belge réuni à Londres n’avait qu’un seul flamand dans ses rangs.
QUESTION : Où éTAIENT LES AUTRES ?
En train de collaborer, tiens !
Pas tous. Les socialistes flamands étaient contre Hitler.
Beaucoup se firent assassiner par la collaboration pour cette seule raison.
 La Witte brigade d’Anvers par exemple.
Bart n’en parle jamais dans ses livres d’histoire. Il pleure les victimes FLAMANDES de la répression d’après-guerre. 60% des condamnés, le reste étant francophone.
Vous vous faites avoir par un mythe qui n’est que mensonge ! 
 


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