Henri Diacono 13 octobre 2014 18:44

Ils existent pourtant ceux qui, alors au premiuer plan, ont abandonné la politique sur des défaites ou par lassitude (De Gaulle e Jospin ont été de ceux là tout comme Mendès). Mais hélas pour vous et pour nous, os sont très rares. car tous les autres s’y accrochent comme des morts de faim, défaites ou décisions de justice compris, et surtout sans préjuger de leur âge canonique. Il faut croire que la place est bonne..


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