Philippe VERGNES 21 octobre 2014 14:12

@ Mon très cher JL,


C’est exactement ce que je ne cesse de vous dire : tout est dans votre tête.

L’image n’a jamais, JAMAIS été modifiée malgré vos supplications. Elle est telle que celle qui fut postée à l’origine par mes soins en illustration de mon article (qu’elle ait été imprudemment choisie, je ne l’ai jamais contesté, mais finalement cette erreur m’a beaucoup aidé à formaliser l’indicible). Le bandeau « Le Nouvel Observateur » y figurait bel et bien puisque cette image n’est ni plus ni moins que la reproduction de la page de couverture de cet hebdomadaire qui fut le premier à oser mettre en première page un tel sujet sur la place publique ouvrant ainsi la voie à de nombreux autres qui lui ont emboîté le pas.

Cette « déloyauté » n’est donc que le fruit de votre imagination délirante sur la base de quoi vous me poursuivez depuis deux ans maintenant tout en cherchant à me faire porter la responsabilité de vos propres turpitudes. Les commentaires de Wesson et de bien d’autres intervenants à la suite de cet article attestent sans confusion possible de la véracité de ma version des faits.

Secondement, connaissant par cœur votre paranoïa latente pour l’avoir éprouvée à maintes et maintes reprises, sérieusement, vous avez cru que je répondais à une de vos requêtes ? smiley

Troisièmement, sachez une chose mon cher JL, je ne suis pas votre thérapeute ; votre paranoïa, je ne cherche absolument pas à la guérir (surtout que d’aucun considère que c’est impossible), mais bien plutôt à la nourrir, car vous êtes si prolixe en paradoxes qu’il est parfois amusant de vous voir vous dépêtrez dans vos propres « excrets » (je sais, c’est cruel pour vous, mais j’assume totalement, car si je ne connais pas la haine pour savoir très bien où elle mène, je n’ai jamais revendiqué être un saint non plus). Et puis, il faut avouer que vos paradoxes m’inspirent... savez-vous que c’est la partie de la communication déviante la moins bien étudiée en psychanalyse ?

Mes articles sur le sujet ont déjà convaincu trois doctorants qui ont choisi ce thème pour leur thèse de doctorat. Ce qui est vraiment très encourageant pour que cette partie de la problématique soit effectivement mise à jour considérant la rareté des études portant sur cet aspect de nos relations interindividuelles.

Je prépare actuellement une suite à ces premiers écrits (un quatrième billet qui approfondira encore un peu plus ce point concernant la communication perverse). Vous voyez bien que je ne peux vous en vouloir puisque sur ce forum, vous êtes en quelque sorte ma muse. Aussi, ne vous privez pas de me donner d’autres exemples de communication paradoxale (déviante ou perverse), car je suis toujours preneur.

A très bientôt mon très cher JL. smiley

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