PIPO 2 novembre 2014 22:55

Merci, vous me rassurez,

j’attendais avec trop d’impatience la suite sur l’empathie.

En fait, je crains que ce tabou soit enterré, comme il l’est par les familles et l’entourage de ces personnalités perverses, avec une phrase définitive « c’est la faute à personne ». Ce qui n’est pas complétement faux, mais clos le débat, et je les comprends.
Êtes vous certain de ce lien croisé instinctuel père/fille, mère/fils. je pensais plutôt narcissisme pervers engendrant narcissisme pervers ou vulnérable chez les enfants en fonction de leur intelligence émotionnel (prédisposition génétique ?).
C’est d’ailleurs le cas aussi avec les victimes autres que les enfants, ce lien croisé n’existe pas dans les groupes ou dans les entreprises, il me semble.

Quand pensez vous ?


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