symbiosis symbiosis 22 octobre 2014 16:48

Je crois que le débat que j’ai essayé de soulever avec ce texte, comme l’a bien relevé Loaste n’est pas tant de disserter sur la qualité de l’œuvre, chacun l’éprouvant comme il la ressent, mais bien plutôt sur des notions symboliques et celle d’égrégore.
Nous ne sommes pas là en présence de l’œuvre d’un artiste particulier mais d’un cheminement idéologique, d’une matière qui diffuse ici et là (égrégore), s’infiltre comme un liquide dans l’esprit des gens.
Cela prend forme dans l’art, dans la politique, dans les médias, dans les modes de vies, dans tout par infiltrations subreptices et sournoises.
Bref, on ne peut séparer Mc Carthy d’un magma général. Il en est un des innombrables éléments constitutifs et même si son oeuvre ressemble à une critique acerbe de la société, il n’en reste pas moins que ce contenu s’annule par une espèce d’inversion paradigmatique pour servir la cause de cet ensemble processionnaire toxique, celui des 1% diablement bien organisé.
Comment opère-t-il ?
Hé bien, simplement et par tous les moyens possibles à disposition et par corruptions tous azimuts, son but est de museler, de neutraliser, de lobotomiser, de néantiser.
Nous en sommes là, à ce stade avancé de clivage sociétal.


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