Murphy 2 novembre 2014 11:58

Patrick Samba,

Je vous parle de la dégradation de la cuve, composant réputé difficilement remplaçable et qui constitue de ce fait l’élément qui déterminera la durée limite d’exploitation d’une centrale.

Je n’ai pas dit que des composants autres que la cuve ne pouvaient pas subir une phénomène de vieillissement dû à l’âge. Il se fait cependant que tous les autres composants sont remplaçables. Ils n’entrent donc pas en compte dans la durée de vie c’une centrale.

Est-ce plus clair ?

« des marges considérables ont été prises pour s’assurer que la cuve tiendrait au minimum 30 ans« , et pourtant » Lors de la conception des premières centrales, le retour d’expérience sur ce phénomène était plutôt réduit « , mais néanmoins les ingénieurs étaient assurés d’un minimum de 30 ans. Comprenne qui pourra...  »

Nombreux sont ceux qui comprennent. Mais quand on ne veut pas ... Un retour d’expérience réduit ne signifie pas ne rien savoir. La prise en compte de marges considérables, comme signalé, permet de couvrir les incertitudes. Les faits le prouvent amplement.

« question d’ »assurance« , c’est curieux que les assurances n’assurent pas les risques liés à un accident nucléaire, non ?) »

Je ne vois pas bien le rapport avec la durée de vie.


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