Bonjour, Michel.
« lors des hymnes nationaux, chantés la main sur le cœur ».
Venant d’exilés fiscaux comme les joueurs de tennis français, cette attitude est à gerber ! Mais peut-être s’assurent-ils, en effet, que leur portefeuille est en sûreté.
« Comme le dit un membre de « l’équipe de France » de tennis : « pour 47 jours passés en France, j’ai payé 230 000 € d’impôts ! ». On remarquera que pour payer cette somme, il faut gagner plus du double. »
Et même le triple, compte tenu des différents abattements existants. Pauvre Tsonga, car c’est de lui qu’il s’agit. Non content d’être antipathique (contrairement à Monfils), voilà qu’il vient jouer les pleureuses ! Ce mec est d’autant plus écoeurant qu’avant de se soustraire à l’essentiel de ses obligations fiscales au mépris de ses compatriotes dans la panade économique, il est, de tous les tennismen français, celui qui a le plus profité des infrastructures françaises, personnel technique et médical compris.
« La coupe des vices » est en effet pleine, et le pire est que cela ne semble même pas émouvoir les autorités, fussent-elles « socialistes » et donc présumées favorables à une juste redistribution des richesses acquises.
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