Pierre Régnier Pierre Régnier 16 décembre 2014 12:35


njama

 

Vous confirmez ce que je pensais. Pour vous, un militant islamiste est un musulman « encarté », comme l’islamisation de la France est le procédé qui conduit à la conversion de la totalité de la population française. Pour moi - et c’est vrai que j’emploie très intentionnellement le terme - est islamiste celui qui milite pour l’extension de l’islam ou, à un moindre degré qui, pour de multiples raisons, entretient délibérément son aveuglement sur l’islamisation qui se fait. Disons que, dans ce cas, il serait plus juste de parler d’un citoyen français complaisant envers les islamistes, envers les islamisateurs.

 

Je ne cherche pas à savoir lesquels des islamistes sont les plus efficaces, et donc les plus dangereux sur le long terme. Certains, les plus nombreux, sont pacifiques dans leur comportement personnel, d’autres sont violents mais les uns et les autres font avancer leur religion d’intolérance et de violence par l’une des deux manières explicitement préconisées (commandées, même) par le prophète Mohamed et les rédacteurs du Coran.

 

Nous sommes là au coeur du problème et ça nous ramène à ce que je reproche à Baubérot. C’est le rapport théologique à la violence et à sa capacité de s’en débarrasser ou non qui devrait prévaloir dans le traîtement des religions par une société attachée à la laïcité et aux Droits humains. Il ya plus de 20 ans maintenant que je milite pour qu’on en vienne là et, comme à 76 ans je ne suis pas encore totalement épuisé, je vais continuer.

 

Comme vous dites, s’il existe, Dieu ne cherche pas à nous embrouiller. Mais les dogmatiques des différentes religions, eux, cherchent à conforter et à pérenniser la conception criminogène qu’elles ont enseignée de Dieu (« dépassées » pour le judaïsme pour le christianisme et le bahaïsme, toujours valable et mise en pratique pour l’islam).

 

De manière provocatrice - pour faire réfléchir les chrétiens mais j’avoue que c’est raté - l’ancien catholique fervent que je suis a qualifié Benoît XVI, le pape qui a re-justifié, re-divinisé, re-sacralisé, re-dogmatisé la conception violente de Dieu dans le Nouveau Catéchisme, de premier responsable de la violence religieuse. Comme le pape François marche, sur ce point précis, dans les pas de son prédécesseur et que les catholiques pacifiques ne se fâchent pas je n’ai pas de raison d’effacer ma provocation.

 

Mais j’affirme haut et fort que, parce qu’il a dès l’origine verrouillé sa conception criminogène de Dieu c’est l’islam qui est, de beaucoup, la religion monothéiste la plus dangereuse. Et c’est ce que voient de plus en plus les pékins moyens qui n’ont pas les oeillères et les raisonnements tordus de ceux - même de gauche ! - qui se font les complices des islamistes. Ils le voient parce que, tout simplement, tout logiquement, tout banalement, comme ceux qui les ont précédés depuis quatorze sicècles, les islamistes violents continuent de mettre en application les appels à la violence pour la conquête islamique du monde et la soumission de tous les peuples au Dieu Allah (en réalité, bien sûr, à ceux qui prétendent parler en son nom).

http://www.blog.sami-aldeeb.com/2011/09/18/benoit-xvi-premier-responsable-de-la-violence-religieuse/



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