Spartacus Lequidam Spartacus 22 décembre 2014 12:49

Pour les « éditions Esprit » il dit posséder 25% des parts sociales dans un PEA. 

Le PEA exonère au bout de 8 ans les impôts et plus-values de cession à hauteur de 25% des parts de l’entreprise.
C’est une méthode bien connue pour éviter les impôts de cession

Le principe : faire la reprise de cette société par 4 personnes pour ne pas passer le seuil des 25% d’un PEA. 
Les 4 disposent de 25% des parts. Donc leurs cessions seront exonérées des plus-values.

De l’autre le vrai propriétaire contractuellement sous le sceau du secret devant avocat prêtera de l’argent aux 3 prête-noms les 75% et chacun prendra 25% avec cet argent.

Le prêt pour les 3 personnes sera à rembourser obligatoirement en une fois sous la forme liquide avec correspondance de la valeur des parts sociales de la dite société cédée au bout de 8 ans....

Il est fort à parier que le « pret » entre particulier de Mr Macron est l’oeuvre de l’un de ces associé, réalisé en même temps que l’acquisition des éditions Esprit. Et qu’il devra rembourser en une seule fois le jour de la liquidation de ladite société. 

N’importe quel quidam se voit fiscalement requalifier ce montage très connu en « abus de droit ». 

2 PEA est assez « curieux ».....

L’important dans le PEA est la date de départ....Qui conditionne la liquidation sans impôts pour 8 ans de détention.

Il est fort à parier que cela a été fait de manière volontaire et à dates décalées. L’intention est la liquidation à dates décalées, pour éviter la vigilance du fisc....C’est une subtilité pour franchir le seuil de cession d’un PEA exonéré d’impôt . 

La ou un seul PEA franchit les seuls maxi de cession, diviser par 2 sur 2 périodes séparées de 3 ans et 1 jour, permet de passer les contrôles fiscaux limités à 3 ans....

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