Cela devient difficile à savoir : Vals dit, « Charlie c’est affreux, mais c’est aussi la faute de l’apartheid français » et il monte dans les sondages, Dieudonné dit en substance la même chose « je suis Charlie Coulibaly » et il est poursuivit en justice. Aujourd’hui, plus que jamais, et comme toujours à gauche, peut importe ce que l’on dit, ce qui compte, c’est d’où on le dit. La différence inquiétante, c’est que désormais, c’est confirmé par la Loi républicaine.