Jean Keim Jean Keim 30 janvier 2015 14:18

Entrer à l’hôpital et en ressortir à peu près vivant est une épreuve de sélection naturelle : ill faut résister aux infections nosocomiales, ne pas mourrir soit de faim, soit esquinté par la nourriture, réussir à dormir malgré le bruit de l’aspirateur et de la cireuse à 1 h du matin dans les couloirs et la visite du personnel soignant qui vous braque une lampe torche dans le visage à 3 h pour voir si vous dormez ... Je dois en oublier et je passe sous silence la simplicité des démarches administratives et de l’incapacité à communiquer des médecins quand seulement ils maîtrisent les rudiments du français qui est l’idiome pratiqué généralement localement. 

Ceci dit je loue le personnel soignant qui fait au mieux compte tenu de ses multiples contraintes.

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