Beau texte plein d’espoir.
Effectivement un courant d’air frais dans l’air confiné de plus en plus putride de « la prison des peuples ». On comprend que les Grecs soient complètement opposés au tournant nazi qu’a pris « l’Europe » des européiste en Ukraine et cette acharnement démentiel à contenir et à agresser la Russie : ils ont assez donné !
Que Asselineau se soit trompé au sujet de Sypras, après tout, tant mieux : que ce parti et son chef tiennent bon, ils montrent ce que les peuples Européens devraient faire pour sortir de leur vassalité.