rakosky rakosky 6 février 2015 11:05

Pour Wolfgang Schäuble, ildoit renoncer à toutes ses promesses d’alléger l’austérité (notamment l’augmentation du salaire minimum et des petites pensions) et continuer à appliquer le mémorandum listant les réformes à accomplir. Il exige notamment que le programme de privatisation, suspendu par Athènes, reprenne, que la réforme des pensions soit poursuivie ou encore que la fonction publique soit amputée de 150.000 fonctionnaires supplémentaires (depuis 2010, leur nombre est passé de 900.000 à 656.000). De même, la Grèce devra continuer à dégager un surplus budgétaire primaire (hors intérêts de la dette) de 4,5 % du PIB, ce qui la prive de toute marge de manœuvre. Enfin, il n’est pas question que la Troïka disparaisse en dépit du refus d’Athènes de négocier avec des hauts fonctionnaires représentant la Commission européenne, la BCE et le FMI…


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