Philippe VERGNES 7 février 2015 22:11

JL... tel qu’en lui même ! smiley smiley smiley


Ou comment se servir des « taquineries » d’autrui pour laisser libre court à sa perversité.

Sur la question de savoir si je suis le seul à réagir ainsi à vos propos, je crois qu’on ne compte plus les intervenants de ce site qui l’ont quitté après une altercation avec vous tant le mépris que vous affichez envers vos contradicteurs témoigne de votre « méchanceté » que nombreux sont ceux qui vous l’ont signifiée. Auriez-vous perdu la mémoire ???

Vous pervertissez tant mes propos que ceux des autres commentateurs (comme ici ceux de MisterMarko) et les définitions des mots que vous employez dans le seul sens que vous utilisez VOUS. Comme ici avec le mot idiosyncrasie, oubliant au passage que ce terme a d’autres acceptions que celle à laquelle vous en réduisez le sens, comme par exemple celle que j’utilise dans le titre de cet article. Ce qui fait que nombreux sont ceux qui ont compris cette définition du pervers comme vous étant destinée quand bien même elle ne l’était pas tant elle colle à votre idiosyncrasie : « le pervers a un imaginaire étriqué, on dirait que la distanciation entre le symbolique et le réel n’est pas suffisante, il dispose à la fois d’un univers symbolique rabougri et d’un imaginaire figé sur des identifications peu jouables, mais pourtant vitales, d’où déchaînement agressif et pas inflation imaginaire, il n’en pas les instruments.[...] un pervers veut se payer l’autoroute sans jamais pouvoir passer la troisième, alors en général, ça chauffe, et c’est stérile pour tout le monde, ça fait du bruit, et c’est pas de tout repos. »

Lorsqu’un terme est polysémique, il n’y pas revirement comme vous l’interprétez, mais simplement usage d’un mot ayant un autre sens que celui que vous avez décidé qu’il doit prendre. Nul doute que cette nuance vous échappe puisque vous ne comprenez rien de ce que l’on vous raconte.

He oui, « un pervers veut se payer l’autoroute sans jamais pouvoir passer la troisième »... ici, passer la troisième veut dire qu’un seul mot peut prendre plusieurs sens, ce que vous n’acceptez pas. « ... ça chauffe, et c’est stérile pour tout le monde, ça fait du bruit, et c’est pas de tout repos... » comme ont pu le constater nombre de vos contradicteurs (votre ex aussi peut-être ???)

- « Je n’ai pas le sentiment de pervertir vos propos, bien au contraire... » smiley smiley smiley

C’est bien là le problème : du moment que vous refusez qu’un mot ait une acception autre que celle que vous seul lui créditez, tout en lui donnant un autre sens que celui que l’auteur utilise : vous pervertissez ses propos quand bien même ces deux sens soient présent dans un dictionnaire. Et le sens du mot idiosyncrasie que j’utilise dans le titre de cet article est bel et bien présent dans un dictionnaire... de référence en plus puisque c’est celui qui reprend les définitions de mots données par l’Académie française. Il ne se réduit donc pas au seul sens que vous lui attribuez. D’où votre univers symbolique rabougri. C’est pourtant simple, mais comme vous le dites : vous n’en avez pas conscience. Peut-être est-ce déjà trop compliqué pour vous ???

CQDF smiley

P. S. : Rassurez-vous, je vous aime quand même. C’est bien pour ça que je vous mets les points sur les i quand bien même mes tentatives soient stériles, car au final, je vous plains plus qu’autre chose. Vous êtes comme un gosse qui a perdu sa mÔman ! Ce qui ne signifie pas que l’on doit vous laissez dire n’importe quoi, car le problème des pervers, c’est qu’il ne comprenne pas qu’ils dépassent les bornes des limitessmiley !

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe