JL,
Je suis d’autant moins pervers que je reconnais facilement mes défaites face à vous.
Bon, à ma décharge, si je rends les armes, c’est à chaque fois parce que je ne suis pas de taille à lutter contre les arguments symptomatiques de votre pathologie et que je n’ai pas le temps matériel d’aller, comme vous, chercher des citations de Pierre, Paul et Jacques (pas plus que je n’ai le temps de vérifier celles que vous assénez comme démontrant votre pensée défaillante).
Je brise là la conversation.
Ne m’en veuillez pas mais je préfère de loin lire l’auteur vous moucher et je me mords déjà les doigts d’être intervenu au milieu de sa parfaite démonstration.
C’est à vous.
Je vous remercie de ne pas utiliser plus avant mon intrusion pour échapper à P. VERGNES