Un mot au sujet de votre décompte des mercis : j’ai noté qu’aucun d’entre eux n’était susceptible de témoigner d’une dépendance qui vous serait insupportable, ou d’une
insuffisance personnelle qui serait comme une insulte à votre moi
grandiose.
Vois mercis n’en sont pas, ce sont des faux mercis quand ce ne sont pas des flatteries. Si vous aviez lu la page 77 que je vous indiquais, vous auriez trouvé ça à la suite : ’’... mieux vaut alors renverser les rôles et rester soi-même seul à distribuer les compliments.’’
La suite aurait intéressé les lecteurs, mais je doute qu’il y en ait encore.