Philippe VERGNES 14 février 2015 19:20

Hé... dément stupide qui mérite définitivement son surnom de Tati Danielle.


Vous dites : «  1 - Le « ou » est dit inclusif s’il peut être remplacé par « et » : c’est le « ou » du langage courant. C’est toujours le contexte qui détermine s’il peut ou non être remplacé par « et  ». Si le contexte n’est pas suffisamment explicite, alors il convient d’écrire selon le cas, soit « et/ou », soit « ou bien ».

Ben voilà, dans le contexte de la citation du livre de Racamier, le OU ne peut ABSOLUMENT pas être remplacé par ET. Sauf à vouloir pervertir cette définition.

Vous : « 2 - Le « ou » de la logique booléenne est toujours exclusif.« 

La logique booléenne, l’algèbre de Boole, est une logique TOTALEMENT « mécaniste ». On s’en sert pour programmer des ordinateurs et des circuits électroniques. C’est un langage destiné aux machines, pas aux humains.

Ainsi tout s’explique : je parle à un robot. D’où le fait que vous n’ayez aucune empathie. Normal donc que vous qualifiez une pensée qui vous dépasse d’anti-pensée, puisque votre seule logique est une succession de 0 et de 1.

Que dit-on des pervers narcissiques et autres psychopathes ?

Ben justement, qu’ils n’ont aucune empathie... une logique booléenne quoi.

Et comme pour enfoncer encore plus le clou, vous déformez encore mes propos :

Vous : « 1 - Votre requête donne à penser que vous auriez inventé Racamier.« 

Non, je vous l’ai juste fait découvrir.

Vous : « 2 - Vous ne percevez pas le paradoxe pourtant évident qu’il y a à faire une chimérique demande de reconnaissance à une personne que dans le même temps, vous traitez de pervers narcissique en vertu notamment de ses supposés paradoxes. C’est hautement symptomatique. »

Ma demande de reconnaissance n’est chimérique que SI ET SEULEMENT SI vous êtes un robot. Autrement dit, en langage humain, un pervers narcissique. Dans le cas contraire, en refusant d’accéder à ma demande, vous reconnaissez implicitement que mes accusations sont fondées. En technique de communication, cela s’appelle un contre-paradoxe. Vous qui n’y connaissez strictement rien dans ce domaine, si ce n’est pour en produire (des paradoxes),vous appelez ça un paradoxe.

Par ailleurs, vous n’avez de cesse ici ou ailleurs de toujours répéter que « JE [vous] n’avez plus rien à faire ici", mais vous voilà toujours. Toujours et encore. Preuve que vous m’aimez et que vous ne pouvez plus vous passer de moi. Aussi, je vais être franc : c’est quand qu’on se marie vous et moi ? Je vous ai déjà fait ma demande, mais je n’ai bien compris votre réponse.

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