"Quand on a rien à se reprocher on est serein face aux personnes qui se
posent des questions, on ne les jette pas des anathèmes. Pourquoi les
classes politico-médiatiques se montrent-elles si hostiles face aux gens
qui se posent des questions ?"
Cette hostilité, sous la forme qu’elle prend en l’occurrence, envoie un message négatif. Le refus du débat posé et rationnel est en soi le signe d’une volonté d’imposer de force une vérité. C’est donc que cette dernière a besoin du soutien de la force. Il importe à ce propos de bien insister sur un point : il n’y a pas eu d’enquête judiciaire ; l’énonciation de la vérité fut purement politique.
Un petit reproche à votre article, par ailleurs bon : le titre embrasse trop. La question du doute ne concerne tout de même pas que le 11 septembre 2001, si important soit cet événement.