"Bachar Al-Assad massacre son peuple depuis plusieurs
années, il ne fait pas partie de la solution pour la Syrie. Nous
n’avons pas à choisir entre un dictateur sanguinaire et une armée
terroriste impitoyable. Les deux sont à combattre".
C’est de la rhétorique, c’est le ni-ni de Sarko dans le Doubs, d’Obama à propos d’Assad, bref, ce non choix n’est rien qu’un comportement puéril, surtout quand il s’agit de relations internationales.
Car enfin pas Assad, pas les Barbus.... sauf qu’il n’y a rien d’autre, donc dans les faits ce sera Assad, faudra juste que ça ne se voit pas trop.