@njama
Vous dites : Au simple bon sens, il me semble que ce n’est pas intellectuellement honnête d’admettre d’une main une succession de prophètes bibliques, et d’exclure de l’autre la possibilité de l’éventualité d’un prophète après Jésus....
Plutôt que de s’épuiser à discréditer l’islam, un bilan général de l’état du christianisme à la fin du VI° siècle me semblerait plus constructif pour situer le contexte politique et social de l’apparition de l’islam. Plutôt que de s’échiner à le dénigrer.
Bien d’accord, mais c’est surtout au IVème siècle qu’on s’est massacré sur des questions aussi futiles que celles qui portaient sur la nature du Fils de l’homme.