Je pense qu’il existe aussi une autre raison au « refus » de cette réforme. Elle est plus profonde
et Sophie a mis le doigt dessus, c’est que dans nos campagnes, il s’agit d’une question de survie des villages. L’argent du contribuable permet la survie de nos campagnes en faisant vivre plusieurs familles. Car croyez-moi, dans les Cévennes (ou j’habite), s’il n’y avait pas la maitresse d’école et le personnel municipal, le village crèverait. La poste a disparue, le médecin ne veut plus y venir habiter, les retraités préfèrent la cote d’azur, quand aux agriculteurs... (heureusement qu’on a aussi les pélardons et la feuille qui fait rire, produits par nos vieux soixante-huitards)
Alors certes on peut trouver cela choquant, mais après tout n’est-ce pas aussi une façon de redistribuer les richesses nationales au travers de l’impôt et du fonctionnariat.