Francis, agnotologue JL 15 mars 2015 20:15

@philouie,

j’ai dit : un processus qui s’élabore jusqu’à un point de retour, c’est-à-dire définitivement, de la même manière que la croissance prend fin un jour.

Je ne sais pas si la perversion est un mal incurable, mais je sais que personne n’a la recette pour la guérir. Peut-être les camisoles chimiques ?

Je profite de ces lignes pour corriger une phrase dans mon post précédent : « Ces personnages auquel l’auteur de ces lignes fait allusion à son insu, nous les connaissons tous : ce sont les éditocrates, médiocrates et autres chiens de garde du Système qui siègent en bataillons pléthoriques et omniprésents dans ses médias de masse. » A son insu est en trop, c’est clair.

Par ailleurs, je précise à PV que les éditocrates n’ont pas le pouvoir : ce sont des employés du pouvoir, notamment économique.

Enfin j’ajoute que les politiques n’ont pas le pouvoir parce qu’ils sont fous, mais sont fous parce qu’ils ont le pouvoir. Nuance, donc.

C’est pourquoi, il n’y a pas lieu de se livrer à une chasse aux sorcières qui enverrait tout le personnel politique à la guillotine, mais de se doter d’institutions solidement étayée par les gardes fous idoines.


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