doctorix, complotiste doctorix 26 mars 2015 17:02

@Pelmato

Il y a deux réponses à faire.
La première porte sur l’intérêt d’une augmentation du taux d’anticorps, certes obtenue par la vaccination.
Mais ces anticorps sont une infime partie de la réponse immunitaire qu’offre l’organisme à une agression virale ou bactérienne naturelles, de l’ordre du pourcent. Une touche de piano sur un clavier, dit-on. L’essentiel de l’immunité est cellulaire, et le vaccin ne la permet pas. C’est pourquoi, alors que la maladie immunise durablement, le vaccin doit être renouvelé, et ne peut offrir autre chose que des anticorps, peu protecteurs (mais montés en épingle par les fabricants, comme une preuve de succès).
La deuxième porte sur les adjuvants. Sans adjuvants, il est impossible d’obtenir la montée des anticorps (qui de toutes façon sont médiocrement efficaces). Et ces adjuvants sont extrêmement dangereux, depuis l’hydoxyde d’aluminium qui est un puissant neurotoxique, jusqu’au squalène (qui ressemble à un des constituants de notre corps, et contre lequel notre organisme va s’ingénier à fabriquer des anticorps, d’où l’apparition de diverses maladies auto-immmunes, qui constituent le gros du syndrome du golfe dont furent victimes les combattants américains en Irak, hyper vaccinés avec cet adjuvant).
Inefficaces, dangereux, voilà résumé ce qu’on peut attendre des vaccins.
Il parait que celui contre la fièvre jaune serait efficace. Il en faut bien un, encore faudrait-il comprendre pourquoi il l’est. Mais pour les autres, on sait pourquoi ils ne le sont pas.
Enfin si on a envie de savoir.

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