Philippe VERGNES 1er avril 2015 15:12

@ JL,


« Ps : je ne possède pas cet ouvrage, j’ai seulement trouvé ce lien. Peut-être est-il un fake. Si cela était le cas, qu’on se rassure : je ne demanderai pas que son auteur soit fusillé et je ne traiterai jamais celui qui utilise ce lien de menteur : je ne le signalerai plus, c’est tout. »

Par contre, vous pouvez me traiter allusivement ou explicitement de menteur - d’imposteur, de manipulateur et de pervers narcissique et j’en passe - parce que j’utilise un autre lien, vous pouvez également demander à ce que l’on me « fusille » alors que je ne fais que reproduire le lien d’un site dont la probité est irréprochable.

Curieux ce deux poids deux mesures, en tout point identique à celui de nos chers gouvernant. Auriez-vous quelque chose de communs avec eux qu’il ne faudrait surtout pas que l’on sache ??? Un petit « secret » jalousement gardé qui vous fait réagir à chaque fois que l’on pointe du doigt leurs véritables travers ???

Si vous aviez eu l’honnêteté intellectuelle (comme j’ai pu le faire) de citer votre propre source d’entrée de jeu dans votre message de 13:33, il n’y aurait eu aucune confusion possible. Donc, si confusion il y a, c’est bien vous qui l’introduisez et en faîtes porter la responsabilité à vos opposants (technique d’inversion, un très grand classique chez vous : c’est la signature du vampire).

Résumons : 1/ je produis une citation de Dolto en indiquant le lien d’où elle provient, tout est ici parfaitement clair et chacun peut en vérifier l’exactitude ; 2/ vous la réfutez au prétexte qu’elle figure dans un livre que vous ne possédez pas et sans préciser d’où vous tenez cette information (pas de référence, pas de pages, etc. ; donc, sans en apporter la preuve : accusation péremptoire digne des procès en inquisition), de ce fait, le constat est très simple : vous introduisez là une confusion en vous montrant particulièrement perfide ; 3/ vous reproduisez la même interview que j’introduis en 1/ qui accable fortement Dolto, MAIS... et c’est un mais d’importance, vous donnez le lien qui précise que cette citation provient bien du Livre noir de la psychanalyse, édition 2005. Personnellement, je possède l’édition 2010 où cette interview a été supprimée de même que près de 300 pages relatives à la première édition.

Ainsi, de tels procédés sournois et ces manières de fourbes suivent chez vous toujours le même schéma : sur la base des confusions que vous introduisez vous mêmes par vos propres affirmations péremptoires, quand elles ne sont pas mensongères dans un premier temps (déni de preuve : formules magiques performatives), vous accablez dans un second temps votre contradicteur en sortant du chapeau votre preuve « irréfutable », mais qui finalement indique exactement la même chose que ce que vous disqualifiez chez votre contradicteur, tout en le faisant ainsi passé pour menteur sur la base de vos propres turpitudes.

Ce schéma type est une constante chez vous dans tous les conflits que vous générez avec vos contradicteurs, et c’est TRÈS exactement celui que décrit Racamier lorsqu’il parle et définit la perversité narcissique.

IL N’Y A PAS DE PERVERSION NARCISSIQUE SANS LA MISE EN PLACE D’UN TEL « SCÉNARIO ».

C’est ce qui définit la perversion narcissique plus que tout autre chose et ce qui la distingue également des perversions sexuelles, car la prise de jouissance s’effectue en deux temps (j’avais expliqué cela, il y a déjà fort longtemps). Mais encore, faut-il savoir décrypter le déroulement d’une telle stratégie, ce qui est une toute autre histoire, car je rappelle que la perversion narcissique est un processus.

Donc, pour une fois, nous avons su que cette citation provenez d’un site Internet et non pas de l’une de vos lectures comme sembliez le suggérer allusivement dans votre premier commentaire faisant état du Livre noir de la psychanalyse. (C’est comme pour le livre de Shengold : vous prétendiez l’avoir lu il y a longtemps parce que parlais de meurtre psychique et de maltraitance infantile dans de précédents commentaires, mais tout laisse à penser que comme pour le Livre noir de la psychanalyse, vous ne l’avez pas lu et je doute même que vous le possédiez dans votre bibliothèque : il ne vous reste plus qu’à courir chez votre libraire du coin, pour essayer de trouver un exemplaire de cet ouvrage. Comme vous avez pu le faire pour « Le Petit Racamier »... mouaaarrf) smiley !!!

En fait, s’agissant du livre de Shengold, je vous mets au défis de citer ici même des extraits de ce livre, comme vous avez pu le faire pour Racamier (au moins une dizaine à différentes pages), que l’on soit sûr de ne pas retrouver sur Internet (ce qui sera très facile de vérifier), et ce avant demain matin (ça vous laisse toute l’après-midi pour le trouver dans une bibliothèque, ce qui est faisable tout de même, surtout si vous habitez Paris !)

A défaut, je serais obligé de considérer que votre référence à cet ouvrage n’était qu’une énième mystification de votre part. Qu’on se le dise !

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