ddacoudre ddacoudre 4 avril 2015 09:02

@Mohammed MADJOUR

bonjour Mohammed. j’avoue avoir des difficulté parfois à être d’accord avec toi car la forme vicie la justesse du fond. si l’égalité n’existe pas, ce qui est juste à dire, pourquoi voudrais-tu qu’existe un « nivellement satanique » des société, Satan n’existe pas plus que l’égalité. Mais quand tu utilise cette expression je comprend ce qu’elle signifie pour toi, Alors quand nous utilisons la notion d’égalité nous savons aussi qu’elle n’existe pas, mais elle signifie que dans l’organisation de la société nous devons tendre à ce que les singularité de chacun ne soit pas une raison pour négliger, exploiter, mépriser, écarter, supprimer ceux que la nature aura doté d’attributs moins performants que d’autres pour trouver leur place dans l’environnement « géo historique » (l’interaction de l’humain avec son environnement géographique qu’il modifie et hérite de l’histoire des comportements que ces actions auront enclenché).
à ce niveau de réflexion il faut penser que tout ce qui se réalise, bien ou mal aussi atroce que cela puisse être ou mirifique a une raison d’exister sinon la nature n’aurait pas retenu sa réalisation.
cela en l’espèce signifie que la notion d’égalité trouve sa raison d’être sinon nous n’en parlerions même pas. il, en est ainsi de toute chose ce qui complique nos analyse qui se font que sur ce que nous sommes capable de comprendre et que notre cerveau sélection devant la prolifération d’information qu’il reçois et dont il écarte sans notre consentement ce qu’il juge ne pas être utile à notre à la formation de nos actions à chaque instant de notre existence. Cela devrait nous rendre plus humble et plus tolérant dans la compréhension des événements qui s’enclenchent de notre fait, et nous devrions arrêter de croire que nous disposons du libre arbitre parce que nous faisons les choix sans tenir compte de toutes les informations que notre cerveau à éliminé pour ne pas exploser. c’est ainsi que si la démocratie c’est développé, c’est qu’elle offre une possibilité autre que seulement la sélection naturelle suivant notre regard sur le monde, et imaginer que derrière cette possibilité qui a surgit de l’histoire humaine puisse se trouver une forme d’organisation qui puisse répondre à toutes les modifications « géohistoriques » que nous déroulons et qui, si elles sont de nature à détruire l’existence de notre espèce, ou a la réguler cela se fera, non pas parce que il y a une destiné ou un destin d’inscrit quelque part, mais parce que une partie importante de nos actions qui sont des causalités d’événements futur nous échappent. s’il en était autrement nous serions dans le déterminisme conscient le plus absolue et nous n’aurions même pas la possibilité d’un choix. c’est ainsi que le choix pallie à notre ignorance de ce que peuvent nous offrir l’aptitude et l’utilisation de nos attribut pour survivre dans un environnement hostile à une existence de cueilleur chasseur. le risque de notre société qui se développent sous l’égide de savoir exponentiel, c’est qu’ils ne puissent plus se contenir dans le seul cerveau humain et que sa transmission s’amenuise au point que le savoir présente un risque récessif. Rapidement, c’est comme les arbres dans les forêts tropicales, le sol et favorable à la croissance, les espèce se livrent à une compétition pour exposer au soleil leurs feuillages (nos élites) qui oublie de tenir compte de la base qui les portent (les populations) si bien que faire a mesure que les feuillages (les savoirs) bénéficient à l’élite, il ne se démocratise pas et lorsque survient une tempête le feuillage qui se croyait le plus beau, n’est plus suivit par sa base et s’effondre.
c’est actuellement la fracture intellectuelle qui se développe.
cordialement.


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