Baasiste 2 6 avril 2015 19:29

@OMAR
« Alors, par solidarité continentale, il faut éluder les Normands, les Romains, lesVandales, les Allemands, bref, tous ceux qui ont semé la mort et le désarroi en France. »

c’est eux qui ont fait la france....

« Quant au territoire que vous appelez France, De Gaulle le délimitait de Dunkerque àTamanrasset : »
 

« Des Français, ces gens-là ! Avec leurs turbans et leurs djellabas ! » (Cité par A. Peyrefitte. C’était De Gaulle. EdGallimard, 2000)

« Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont les Arabes, les Français sont les Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront peut-être vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisons l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées ! »(Cité par Benjamin Stora, Le Transfert d’une mémoire, Ed. La découverte, 1999).

« Vous savez cela suffit comme cela avec vos nègres. Vous me gagnez à la main, alors on ne voit plus qu’eux : il y a des nègres à l’Elysée, tous les jours, vous me les faites recevoir, vous me les faites inviter à déjeuner. Je suis entouré de nègres, ici. … Et puis tout cela n’a aucune espèce d’intérêt ! Foutez-moi la paix avec vos nègres ; je ne veux plus en voir d’ici deux mois, vous m’entendez ? Plus une audience avant deux mois. Ce n’est pas tellement en raison du temps que, cela me prend, bien que ce soit déjà fort ennuyeux, mais cela fait très mauvais effet à l’extérieur : on ne voit que dès nègres, tous les jours, à l’Elysée. Et puis je vous assure que c’est sans intérêt » (Entretien avec Jacques Foccart, 8 novembre 1968 ; cité dans ses Mémoires, tome 2 : Le Général en mai. Journal de l’Élysée. 1968-1969, éd. Fayard/Jeune Afrique).

« Si une communauté n’est pas acceptée, c’est qu’elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problème. Si elle se plaint de racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre. Quand elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous imposer ses mœurs » (dans De Gaulle, mon père, par Philippe De Gaulle, éd., Plon).

A un autre député UNR, Léon Delbecque, également partisan de l’Algérie française : 
« 
Et puis, Delbecque, vous nous voyez mélangés à des Musulmans ? Ce sont des gens différents de nous. Vous nous voyez mariant nos filles avec des Arabes ? » (La Tragédie du Général, op. cit.)



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