Electric Electric 17 avril 2015 16:21

Cet article est un plagiat du résumé des travaux de Jean Claude PICARD, professeur en Sorbonne et décédé, publié sur le blog « histoiredemystifiée » dans un papier paru en 2012 et que l’auteur s’est accaparé en totalité sans citer ses sources :

http://histoiredemystifiee.blogspot.fr/2012/08/le-christianisme-une-religion.html

Bernard Henry Bothul, sors de ce corps !

Pas beau de pomper, recracher sans citer ses sources pour faire le mariole.

Sans rancune, je conseille à l’auteur la lecture du livre du Dr Francesco Carotta « Jesus was Caesar », qui montre que le personnage qui a servi de modèle à la VIE de Jésus était Caius Iulius Caesar, né d’une vierge, fait Dieu de son vivant, aux batailles miraculeuses, à la clémence légendaire, trahi par les siens, assassiné pour la Pâques, accusé de vouloir devenir Roi (coup fatal porté par Longinius comme jésus), dont une statue de cire fut crucifiée symboliquement sur un tropaeum au pied du capitolum (mont du crâne), ressuscité le troisième jour et assis à la droite du père, Jupiter. L’Evangile de Marc reprend dans l’ordre et trait pour trait la vita caesare de 49 (le Rubicon/Jourdain) à son assassinat en 44. Pompée le Grand fut son Jean Baptiste.

La crucifixion symbolique de Caesar est narrée par Appien dans le livre II des guerres civiles.

Dichotomie de l’Eglise catholique romaine : Caesar était le clément, le sauveur, le Dieu vivant, le Seigneur issu de la classe des populare aux origines modestes, mais divines, accouché par césarienne. Son culte dans tout l’Empire sera célébré par ses anciens légionnaires installés dans les colonies après le sauvetage au Sénat (Sanhédrin) des Acta Caesare par Marcus Antonius. Il est le sauveur du peuple, de la Plèbe, le fondateur de l’Empire et le liquidateur des guerres civiles.

Il effectue les réformes monétaires (crise de la dette), fiscales, agraires, sociétales, religieuses, calendaires qui jettent les bases de l’Empire romain. Il est le Pontifex Maximus. ou ArCHieReus megISTOS (CHRISTOS par contraction) en grec.

Caius Iulius Caesar est le Christ du peuple.

Octave (Auguste), son fils adoptif et nouveau Caesar, magiquement intronisé incarnation de Caesar lors des jeux de l’été 44 lors du passage de la comète (reprise ensuite comme symbole chrétien avec le Chi Rhô qui est une récupération des symboles numismatiques des pièces frappées en l’honneur de Jules après sa mort) se devra de venger son père, puisque parricide il y eut (et non tyrannicide comme l’auraient voulu Brutus et Cassius). Fini la clemencia caesare, place au règne solaire, impérial et apollonien d’Auguste.

Auguste est le Christ du Clergé de l’Eglise catholique romaine. Il est aussi le Christ jeune des Evangiles.

Le culte sera délocalisé en Palestine en 70 après la chute du Temple, haut lieu des faits d’armes des flaviens. La conversion paulinienne est une tentative de se concilier les juifs.

Certains chercheurs pensent que Paul était aussi Flavius Josèphe. Abelard Reuchlin va plus loin et donne le nom du rédacteur des Evangiles : Lucius Calpurnius Piso, descendant du L C Piso beau Frère de Jules et dont Appien nous rappelle le rôle majeur dans le sauvetage de l’héritage caésarien. Cette « conspiration » du tournant du 1er au IIème siècle impliquait probablement aussi Suétone, bref les historiens officiels du régime.

Finalement, on se raccroche ensuite aux travaux que l’auteur a usurpé, avec l’adjonction de la source Q (ésotérisme, reliquat des anciennes religions des mystères) qui donne sa puissance au christianisme, ainsi que la récupération de pratiques païennes comme le partage du pain et du vin lors des libéralia, le Liber Pater remis au goût du jour par Jules et célébrées le 17 nisan, soit le jour de ses funérailles qui tombaient cette année là aussi avec la Pâque juive. On y adjoindra Mythra.

Au printemps, à Rome, on coupait un sapin qu’on ornait de colifichets.

Le monde est donc dirigé par 3 cités Etat : le Vatican (spirituel), la City (financier), et Washington DC (militaire).

Le Capitole (Temple de Jupiter) a été construit sur les terres jésuites de la famille Caroll. La Constitution des USA est une copie quasi conforme de la Théologie de la libération de la Foi, rédigée par le Cardinal Bellarmin, qui figure sur les armes du Pape François. Le Supérieur Général de la Compagnie de Jésus, Lorenzo Ricci, a supervisé ce coup de maître depuis sa « fausse prison’ » du collège anglais à Rome, après la « fausse dissolution » de la Compagnie en 1773, prémices à la « révolution » américaine.

La Compagnie britanniques des Indes orientales a été crée le 24 décembre 1599 par un certain Fitch pour 30£ de capital. Ce Fitch avait été sauvé par les jésuites de Goa après avoir été fait prisonnier pour commerce illégal. Eh eh eh !!!

C’est donc en toute logique que le premier drapeau des Etats Unis fût celui de la Cie des Indes, avant que les 13 étoiles ne viennent remplacer les bandes. Il fût choisi lors d’une réunion entre Franklin, Washington et « Le Professeur » alias Lorenzo Ricci en personne ressuscité après « son décès » de novembre 1775.

En 1772, parut en langue française « l’art de la guerre » de Sun Tzu, traduit par le jésuite Amiot. Il ne serait pas étonnant que Lorenzo Ricci en soit le véritable auteur, lui qui a sabordé ses vaisseaux (fausse dissolution, affaiblissement du Vatican), a simulé sa mort, pour mieux aller mettre le nouveau monde sous tutelle, où alors la religion catholique était INTERDITE.

Il suffira ensuite de tapisser Washington de symbolique franc-maçonne pour noyer le poisson.

Toute cette histoire est racontée dans la fresque de la coupole du Capitole pour qui sait bien lire.

Thèse issu des travaux de Tupper Saussy (le Kaiser Sauze américain) et de son livre « The rulers of Evil ».

De la Mésopotamie à Rome et jusqu’à Washington, Babylon rules the world.

NB : la communisme a été inventé et expérimenté par les jésuites sur les indiens guaranis au Paraguay de 1600 à 1750. Son drapeau est rouge comme celui de St Ignace de Loyola, des boucliers des légionnaires romains, des Rothschild, et son Christ Laïc le Che Guevara.

Le trésor des jésuites après leur « dissolution » a été confié à une petite famille juive qui deviendra les Rothschild.

Cet épisode est narré par Alexandre Dumas dans le Conte de Monté Christo. Dantes est la Cie de Jésus. Quand il revient de son île au trésor, il rachète la banque « Thomson & French » pour assouvir sa vengeance et ne pas apparaitre au grand jour. Allusion à peine voilée à l’alliance de la Cie avec les Rothschild qui doivent plus leur bonne fortune à de précieux alliés qu’à un sens des affaire surnaturel.

On finit avec le nombre de la bête 666  :

666 = D (500)+ C(100) + L(50) + X(10) + V(5) + I(1), soit le système alphanumérique de Rome.


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