Malefic Malefic 22 mai 2015 14:03

 Navrant... A croire que ces personnes n’ont plus d’idées.

Mais pas très surprenant en réalité. Ces pseudos-féministes sont en réalité les mêmes que les associations antiracistes, que les antifas ou que les politiciens du système. Elles doivent vivre sur du symbole et sur de la victimisation.

Pour qu’une association antiraciste marche, il faut qu’il y ait du racisme. Ainsi l’objectif sera d’en chercher pour continuer à exister et à se satisfaire dans son combat du passé.

Tous ces gens se réclament du progrès. De l’avenir de notre société. Et comme par hasard, ce sont eux qui nous citent le nazisme, le fascisme, le machisme, le nationalisme jusqu’à la Corée du Nord (symbole à elle-seule).
Ces gens qui ne jurent qu’en l’avenir, qui ne parlent que de progrès, sont ceux qui ont le plus peur du passé, ou plutôt, qui utilisent le plus les peurs du passé. C’est du chantage.

L’histoire ne nous convient pas. Il faut la bannir. Il faut qu’elle soit faîte que de blanc. Que d’amour. Que de paix. Changer la Marseillaise (qui n’a rien de raciste en plus, même à notre époque), changer la grammaire et même changer les versions de l’histoire. Garder ce qu’on aime, supprimer ce qui nous dérange. Une énième méthode pour détruire une culture, pour détruire une structure. Le but est de lui retirer son histoire, lui retirer ce qui l’a constitue et ce qui lui permet de comprendre son présent pour construire son futur.

D’après ces personnes, notre histoire serait trop à l’image des hommes. Peut-être aussi parce que les hommes ont eu un rôle majeur dans l’histoire ? Prenons la Déclaration de 1789, parlons des figures intellectuelles, révolutionnaires ou conservatrices de l’époque ? Quels noms vous viennent ? (quasi) Uniquement des hommes...
Prenons les grands scientifiques, les grandes icônes, les grandes figures, les grands chefs et dictateurs, les grands inventeurs, les grands intellectuels... il y a encore et toujours principalement des hommes...
Différence culturelle ou naturelle ? C’est une autre question. Sûrement un peu des deux.

Alors oui, notre grammaire et notre histoire favorise l’homme, sans exclure la femme d’ailleurs, mais aussi parce que l’homme l’a forgée principalement.

Prenons l’exemple inverse : le féminisme. Mouvement dont il est bon de se réclamer, qui nous procure bonne conscience, dignité et respectabilité. Comment le féminisme aurait-il pu naître si les femmes n’avaient pas eu si peu de place dans l’histoire ? Autrement dit, l’histoire du féminisme existe grâce à une histoire centrée sur les hommes. Et le féminisme a eu ses succès.
Je pourrais monter sur mes grands chevaux. Demander à ce qu’une idéologie se réclamant de la protection de l’homme soit promu à la télévision, ou encore demander à ce que le féminisme se nomme : le sexo-égalitarisme ! Et oui ! Car ne défendre que la femme, c’est sexiste !

Ce genre de raisonnement est sans fin et ne mène qu’à de la politique de forme, de la stagnation idéologique et de l’inutilité. Alors reprenez les vrais combats de ce siècle et écrivez votre propre histoire au lieu de vouloir réécrire celle des autres.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe