Philippe VERGNES 30 mai 2015 16:43

@ JL,


Que répondre à tant de transgression ? Faut-il toutes les argumenter une à une pour en démontrer l’absurdité et dénoncer la « puissance » de votre déni de valeur propre ?

Logiquement, c’est ce qu’il faudrait faire, mais la force du discours pervers est justement de noyer (enfumer) ses interlocuteurs dans des considérations subtilement mensongères qu’il faudrait en principe dix fois plus d’arguments pour toutes les contredire. C’est pour cela que nos politiques ont toujours le dernier mot en usant d’un tel discours : notre raisonnement est fainéant (cf. Système 1 / Système 2 de Daniel Kahneman) et c’est bien sur cette paresse que comptent nos gouvernants pour nous endormir.

Ce qui bien évidemment induit deux principaux phénomènes. Le premier est d’imposer une injonction paradoxale : « ta défense prouve ta faute » (cf. Watzlawick et Weakland) ; la deuxième, consiste à noyer la vérité sous un flot de pseudo arguments afin que même une mère ne puisse plus y retrouver ses petits.

Aussi deux exemples seulement (bien qu’ils ne suffiront pas à certains, loin s’en faut) :

En insinuant que je puisse modifier le dictionnaire, vous me retourner l’accusation que je porte sur vous à longueur de temps concernant chacune de vos innombrables interventions disqualifiantes qui consistent à modifier le sens des mots ou des expressions (à les pervertir) utilisées par vos contradicteurs. Ce faisant, vous faîtes preuves de bien peu d’imagination (mimétisme ?). N’avez-vous pas vos propres idées à faire valoir ?

Or, au contraire de vous, je donne quasiment toujours en lien les définitions des dictionnaires que j’utilise. C’est ce qui s’appelle être factuel. Seule attitude à même de créer les conditions permettant d’établir la vérité (D’où tirez vous les vôtres de définitions : nous n’en avons jamais la source. Votre imagination fertile en serait-elle l’origine ???)

Pour le mot apanage, j’ai utilisé le dictionnaire du CNRTL qui est une référence en la matière puisque c’est celui de l’Académie française numérisé. Sur la liste des synonymes du terme « apanage », « exclusif » sens que vous interpréter comme seul synonyme du signifiant « apanage » (JL 30 mai 9:01) n’y figure qu’en avant-avant dernière position. De fait, on ne peut pas vous accuser de mentir, mais c’est la toute la subtilité de vos mensonges qui en sont bel et bien, car « l’exclusivité » que vous attribuez au synonyme « exclusif » du terme « apanage » vient pervertir le sens de la citation qui contient ce dernier mot.

Le dictionnaire Littré, numérisé sur le site Reverso.net donne quant à lui quatre synonymes qui sont : « privilège, bien, caractéristique, lot ». Etc.

Dans le contexte de cette citation, les synonymes corrects seraient plutôt : « attribut... » ; éventuellement encore : « qualité, caractéristique... » Mais surtout pas « exclusif » qui n’est que le fruit de votre interprétation.

En effet, la citation est la suivante : « L’apanage le plus redoutable de la pensée perverse est le décervelage. » Il n’est pas dit « apanage exclusif » (forme superlative parfois utilisée), mais « apanage le plus redoutable », cela signifie bien que le décervelage n’est pas exclusif au pervers narcissique comme votre sophisme vous permet de le prétendez en réponse à PIPO (JL 28 mai 18:34). Votre interprétation attribuant l’exclusivité du décervelage au seul pervers narcissique est donc une nouvelle fois une interprétation erronée dont vous êtes seul responsable.

Par ailleurs, le décervelage n’est absolument pas un agir comme vous le prétendez dans ce même message à l’attention de PIPO (et j’y vais là de ma disqualification subséquente aux vôtres que vous n’avez de cesse de proférer ici et ailleurs témoignant ainsi qu’aucune communication n’est possible avec vous dès lors que l’on vous contredit) preuve s’il en était encore que vous ne comprenez strictement rien à rien à cette problématique (vous savez : c’est un problème de daltonisme).

Le décervelage désigne les dégâts opérés par un décerveleur, empriseur, paradoxeur, etc. (p. n. ou autres) dans la psyché d’autrui. Ce n’est donc pas un agir, mais les effets d’agirs pervers ou autres. (Vous réussissez même à galvaudez l’acception du mot agir telle que la conçoit Racamier.)

C’est ensuite sur la base de ces fausses interprétations que vous construisez tous vos démonstrations sophistiques qui vous permettent de proférer vos disqualifications.

C’est un fait que vous seul et vos complices en « communauté de déni » peuvent éluder.

Ce qui m’amène au terme « déni » que vous déniez également. (Vous déniez votre propre déni par une action de repoussement, ce qui est différent du refoulement freudien.)

La définition exacte du mot « déni » est :
« A.− Rare. Action de dénier, de refuser de reconnaître la vérité ou la valeur d’une chose. Synon. dénégation.
Spéc., PSYCHANAL. (école freudienne).  »Mode de défense consistant en un refus par le sujet de reconnaître la réalité d’une perception traumatisante, essentiellement celle de l’absence de pénis chez la femme« (Lapl.-Pont.1967).
B.− Action de refuser ce qui est dû.
1. DROIT a) Déni de justice.
2. Refus d’accorder quelque chose à quelqu’un. »

Nous sommes bien, vous concernant, dans l’exercice d’un déni qui est justement le propre de ne pas reconnaître la vérité ou la valeur d’une chose à quelqu’un. Cette vérité est à rechercher dans l’exposé des faits, non pas dans celle que votre « raison » vous pousse à développer bien loin de l’objectivité de ces faits « traumatogènes » pour vous, mais dans celle des exemples qui s’enchaînent les uns à la suite des autres tout au long des discussions conflictuelles engagées avec vous (c’est exactement le même procédé que vous utilisez envers tout ceux qui ne sont pas d’accord avec vous).

PS : Je croyais que vous n’aviez pas envie de perdre votre temps ici (JL 28 mai 18:24). Que venez-vous encore cherchez en poursuivant ses échanges ???

PS : Votre fantasme à mon égard au sujet de ma supposé peur et vraiment risible. Le fait même que vous insistiez dans une attitude aussi puérile que burlesque témoigne de votre âge mental digne d’un gosse de quatre an tout au plus. Puisque vous vous identifiez vous-même à un pervers narcissique, et pour que je puisse avoir peur de vous, il faudrait que vos tentatives de manipulation fonctionne sur moi. Or, après plus de trois années passées à inonder mes articles de vos excrets, vous n’avez toujours pas compris que vos attaques sont totalement inefficaces sur moi et le resteront aussi longtemps que vous manifesterez votre pulsion d’emprise ?

Doit-on considérer que vous êtes totalement psychorigide et borné ??? smiley

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