@exosphene,
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Faut-il penser au « Contrats-cadre » et au « management » ?
Un drôle de mot ’management’, hérité de l’anglais et du latin « manus agere ».
Il a un concept relativement flou dans son exercice pratique en fonction de son interprète qui pourrait le comprendre comme dans une ménagerie.
« Les contrats-cadre sont du type ’multiple en cascades’, conclus séparément, mais en termes identiques entre le pouvoir adjudicateur et des prestataires de services, en vue d’assurer l’exécution d’un marché de manière successive par l’un ou l’autre des contractants en cas d’indisponibilité du premier contractant », comme je le lisais dans le rapport dans une toute autre activité.
Le monde de l’entreprise a établi une hiérarchie de managements à plusieurs niveaux dont chaque rouage s’y retrouve, en principe, en fonction de ses compétences et prétentions. Si votre chef est mauvais, blâmez Peter et son principe d’incompétence.
Et comme il est dit :
- Pour de nombreuses organisations, laissez de côté les anciennes formes de promotion et de rémunération. Elles représenteraient une tâche herculéenne pour savoir combien d’entreprises s’y attacherait encore« .
Exercer des fonctions supérieures ne veut pas dire être supérieur mais seulement avoir un potentiel pour être qualifié et espérer tenir une cohésion dans un groupe de personnes liées par la chrémastique qui impose de bien organiser la performance, de la produire au meilleur coût.
Il devient ainsi le porte-parole du haut pour ses collaborateurs dont il a la charge.
Au dernier étage, le GM est sanctionné par des actionnaires investisseurs qui, vengeurs peuvent faire partie des personnes du bas de l’échelle sociale. Forcé de publier son »profit waning" qui joue au trouble-fête, il se verra remercié avec un parachute doré.
La boucle est ainsi bouclée dans un cercle vicieux. <<
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