Bonjour, Sylvain
Intéressant de citer « L’homme qui marche » de Giacometti. Cette œuvre est en effet à la beauté sculpturale ce qu’est « Le marteau sans maître » de Boulez à l’harmonie musicale. La première agresse l’œil, la seconde agresse l’oreille !
Cela dit, je reconnais à Boulez une qualité : il a été un excellent chef d’orchestre.