Fergus Fergus 30 juin 2015 09:34

Bonjour, Dwaabala

Cet évidemment inacceptable. Et cela d’autant plus que rien n’est prévu sur le dossier central de la crise grecque : l’annulation (inévitable) d’une partie de la dette et le rééchelonnement des remboursements sur des bases saines. C’est l’absence de négociations sur ce sujet qui a conduit le gouvernement Tsipras à annoncer le référendum. Contrairement à ce qui a pu être dit, le coup de poker est du côté des autorités européennes qui ont tout fait pour faire avaliser un plan délirant sans jamais aborder la question de fond. Aujourd’hui, tout le monde est au pied du mur, et si les Grecs votent NON, le chaos pourra s’étendre ailleurs en Europe. Par la seule faute des négociateurs ultralibéraux de Bruxelles qui ne supportent pas l’idée qu’un si petit pays puisse gripper le système en place.


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