Laurent Simon 9 juillet 2015 11:59

@jaja Les plans précédents n’étaient probablement pas les plus futés, mais il fallait de toute façon couper certaines dépenses publiques. Ph. Dessertine disait hier que la part des salariés publics était de 40%... alors que l’Etat grec n’existe pourtant pas vraiment (peu d’impôts levés, pas de cadastre) et qu’une corruption généralisée, du clientélisme sont canstatés.... Cherchez l’erreur !

Les autres pays (Espagne, Portugal, Iralnce, pays Balstes, etc.) qui ont appliqué la potion libérale ont certes fait baisser temporairement leur PIB mais ont retrouvé depuis la voie d’une croissance saine ! C’est donc une erreur de prétendre que certains moyens (réduction des dépenses publiques notamment) amène à la misère. Cela crée temporairement des conditions très dures, mais cela permet de retrouver une économie saine.

Le cas de la Grèce est différent, puisqu’on ne peut pas parler d’une économie normale, et ce depuis des décennies. Et les énormes subventions européennes déversées depuis des décennies en Grèce, dans ce contexte grec aberrant, n’ont fait que créer de la rente, augmenter la corruption, et ruiner le développement endogène, pourtant vital.


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