@Laurent Simon
"Je ne connais pas les détails, mais les entreprises privatisées qui ont
été gérées n’importe comment ne peuvent pas être des exemples."
La différence entre une gestion publique et une gestion privée
consiste - idéalement - pour la première en une gestion pérenne au service de
l’usager et contribuable, pour la seconde en une maximisation à court terme des
bénéfices et la satisfaction des exigences d’’un actionnaire par définition
volatil.
Or, à vous lire, les seuls exemples valables qui justifient l’indéniable supériorité de la gestion privée sur la gestion publique relèveraient des rares cas où l’actionnaire se montre vertueux !
En attendant cette « merveilleuse » transmutation de l’actionnaire en un dévot soucieux de saine moralité, mon âge me permet de vous certifier qu’entre les services hier assurés par le service public et aujourd’hui, du fait des directives €uropéennes, ouverts à la concurrence, il n’y a pas photo et le service était nettement mieux assuré (prix, délais, QOS, ...) il y a seulement 20 ans (et avec beaucoup moins d’ordinateurs !).
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