alberto alberto 25 juillet 2015 13:07

Dany, ton article est bien.

Mais, je pense que Tsipras avait un joker qu’il n’a pas su utiliser : l’option « Poutine » !

La Grèce est un pays fortement ancré dans l’OTAN, avec de nombreuses bases militaires, et si Tsipras avait fait mine ouvertement d’un rapprochement avec Moscou : Obama serait sorti du bois pour souffler dans les bronches de Merkel et de son sinistre des finances...

Nous savons qu’il est allé voir Poutine durant la crise : que se sont-ils dit ? Sans doutes que les propositions russes étaient-elles insuffisantes ? Va savoir, n’empêche qu’à son retour de Moscou, je pensais qu’il aurait tenté le coup. Dommage, non  ?


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