Dany, ton article est bien.
Mais, je pense que Tsipras avait un joker qu’il n’a pas su utiliser : l’option « Poutine » !
La Grèce est un pays fortement ancré dans l’OTAN, avec de nombreuses bases militaires, et si Tsipras avait fait mine ouvertement d’un rapprochement avec Moscou : Obama serait sorti du bois pour souffler dans les bronches de Merkel et de son sinistre des finances...
Nous savons qu’il est allé voir Poutine durant la crise : que se sont-ils dit ? Sans doutes que les propositions russes étaient-elles insuffisantes ? Va savoir, n’empêche qu’à son retour de Moscou, je pensais qu’il aurait tenté le coup. Dommage, non ?